Dans sa mission d’éveil de conscience qu’il s’est assigné depuis sa création, le RICC fait l’analyse de la situation selon les points suivants :
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Au niveau des tests de vaccination en Afrique
Plusieurs informations sur les réseaux sociaux font états de tests cliniques de vaccins en occurrence BCG sur des populations africaines mal informées des protocoles de développement de vaccins.
Si dans le fond, le RICC est en accord avec le principe de développement de vaccins et de tests cliniques, il n’en demeure pas moins qu’il soit en désaccord avec l’intervention sur les tests cliniques en Afrique du professeur Jean-Paul Mira au cours du débat télévisé le 1er avril 2020 sur la chaine de télévision LCI.
Pour cela, le RICC invite les autorités gouvernementales à faire la lumière sur la situation et à rendre public les différents protocoles afin de mieux informer les différentes populations.
2. Au niveau des tests réalisés sur la Chloroquine / Apivirine / Covid-organics
A l’instar des grandes puissances engagées dans la recherche de solution curative (médicaments) et préventive (vaccins), le Burkina Faso et le Benin font des tests cliniques sur la Chloroquine et l’Apivirine, ainsi que le Madagascar sur le Covid-organics (produits de la pharmacopée africaine).
Le RICC invite l’ensemble des scientifiques africains à se mobiliser dans cette recherche de solutions et à vulgariser les résultats du fruit de leurs recherches auprès des populations à travers des débats radio-télévisés et autres canaux d’informations officiels.
3. Au niveau économique et social
Les différents gouvernements y compris ceux des pays africains ont pris des mesures de soutien économique des entreprises et des populations afin de réduire les impacts financiers de la crise sanitaire du COVID-19.
Ce sont des décisions que le RICC salue. Cependant, le RICC se questionne sur la mise en œuvre effective de ces mesures dans les pays africains surtout au niveau des couches défavorisées.
Pour cela, une invitation est adressée aux autorités africaines en vue d’assurer un suivi de la mise en œuvre des mesures prises et permettre que les couches défavorisées puissent réellement en bénéficier de façon équitable.
Aussi, le RICC invite les autorités gouvernementales à communiquer efficacement sur les mesures prises et les moyens de lutte contre cette pandémie dans toutes les langues vernaculaires sur toutes les chaines de radios, télévisions et autres canaux d’informations officiels. Ceci, en vue de prévenir la désinformation et la psychose.
Pour finir, restons unis dans cette lutte, Il y a de l’espoir!
